Sur le marché des nano-satellites aussi, les deux grandes capitales de l’Occitanie ont des intérêts communs. Alors que le Centre spatial universitaire de Montpellier vient d’être sélectionné par l’Agence spatiale européenne, au détriment notamment de l’école Isae-Supaero, pour intégrer un programme d’aide aux étudiants engagés dans des projets de nano-satellites, Toulouse s’apprête à devenir (…)
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