Ce sont des signaux inquiétants qui ont poussé la coopérative agricole Arterris à l’action. « Le marché du blé dur s’est beaucoup dégradé en cinq ans. Nous avons perdu 50 % en volume sur nos semences certifiées [1]. Côté maïs, nous sommes en compétition avec des pays d’Europe de l’Est où le coût de la main-d’œuvre est moins élevé qu’en France. Nous sommes rentrés dans une spirale des prix à la (…)
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