Grégory Flandin, directeur des programmes de recherche sur l’intelligence artificielle pour les systèmes critiques à l’Institut de recherche et de technologie (IRT) Saint-Exupéry, à Toulouse, sait de quoi il parle et il est formel. « Aujourd’hui, l’intelligence artificielle dans la mobilité, à la fois dans les airs (avion et drone) et sur terre (train et voiture), n’est pas possible. » (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :