C’est la conséquence évidente de la crise sanitaire. Ce troisième trimestre, à Toulouse, le marché des transactions locatives en immobilier de bureaux chute de 30 % et atteint 23.500 m². Depuis le début de l’année, la demande a même été été divisée par deux. Un score qualifié « d’assez peu réjouissant » par Julie Pasques, la présidente de l’Observatoire toulousain de l’immobilier d’entreprise (OTIE). « Les (...)
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