Pierre Aoun, au niveau national, la FPI parle de « panique dans le neuf » avec des ventes et des mises en ventes en forte chute. Quel est votre ressenti sur la situation en Occitanie ?
La panique, ce n’est pas mon ressenti, même si évidemment il y a de l’incertitude pour les mois à venir. Je pense que les marchés bordelais et toulousains vont continuer de se développer, et même s’ils se mettent en (...)
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