Le tournant a lieu en 2015, lorsqu’elle commence à travailler avec des maisons de couture parisiennes, mais Laurentine Périlhou ne s’en contente pas. « Je ne voulais pas rester à l’échelle du corps. J’avais envie de passer à l’échelle architecturale, de proposer des créations artistiques plus personnelles, de développer des choses uniques. Il n’y a pas de modèle, parce que ça n’existe pas. Le (…)
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