C’est dans un petit appartement, donnant sur la cour d’un hôtel particulier de la rue Saint-Rémésy, au centre de Toulouse, que Laure et Thomas Jonquères d’Oriola reçoivent sur rendez-vous. Rien n’indique la présence de Laujoa à l’entrée de la porte cochère. L’ambiance est feutrée, on entre et on sort en toute discrétion. Après plusieurs années à Paris, c’est dans la Ville rose, non loin de ses racines, que (...)
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