« Merci Orange pour cette nouvelle offre de précarité », « 1977-2022 Rip » (Rest in peace, NDLR), ou encore « La direction nous balade. Quel avenir pour nous ? » Les pancartes affichées devant l’entrepôt Scopelec à Saint-Orens, aux portes de Toulouse, donnent le ton. Sur les visages graves des sociétaires en grève, ce jeudi 3 février, se lit la colère. Michaël est dépité : « On va tout droit vers le dépôt (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :