Leur « combat » aura duré dix années. Ce jeudi 23 février, la cour d’appel de Toulouse a confirmé la condamnation de SFR pour violation d’un accord de maintien de l’emploi de 128 anciens salariés du centre d’appel toulousain. Après le conseil de prud’hommes, la juridiction leur a accordé à son tour entre 15.000 et 40.000 euros de dommages et intérêts, considérant que l’opérateur avait fait (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :