Une usine silencieuse. Pas de tac-tac répétitif. Aucun grignotage ni tronçonnage. Chez Cauquil, les ouvriers spécialisés et techniciens, en tandem ou en solo, s’affairent devant une imposante machine. Plus précisément, devant l’écran placé devant celle-ci qui commande leur outil de production. Derrière une vitre, huit chefs d’atelier sont aussi assis face à un écran pour programmer le pilotage (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :