2019 a été la troisième année la plus chaude en France depuis le début du XXe siècle. La production de la Shem (producteur d’hydro-électricité du grand Sud-Ouest), dépendante des épisodes pluvieux et neigeux, a donc été négativement impactée. « Il y a eu des événements très marqués : neuf mois de sécheresse, trois de pluie. Nous avons produit 1,4 TWh (térawattheure) d’énergie en 2019 contre (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :