Un baiser échangé dans un bar d’Arnaud-Bernard. Un homme en fauteuil qui se soulage place de la Trinité ou encore une nuée de ballons prêts à s’envoler dans le ciel de la Daurade. Derrière son objectif 35mm, Aurélien Ferreira guette la moindre scène de vie. Loin des clichés sur Toulouse, ses instantanés parlent d’une ville cosmopolite et décalée, matière première d’une photographie de rue (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :