Seul maître à bord de son ULM, de son hélicoptère, ou de son planeur, le pilote souffre d’hypoxie, transpire, son rythme cardiaque augmente jusqu’à la crise. Et en ligne de mire, le crash. Dans l’aviation générale, les chiffres font froid dans le dos : une cinquantaine de pilotes d’aviation générale meurt tous les ans en France, prévient Arnaud Violland, co-fondateur et directeur général de (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :