C’est inattendu. Malgré une pandémie, deux confinements et une crise économique historique dans l’aéronautique notamment, l’immobilier ancien a gardé les faveurs des Toulousains l’année dernière. « C’est une année surprenante, même en volume de ventes. On s’attendait à des baisses beaucoup plus drastiques », reconnaît Philippe Pailhès. « L’immobilier s’est transformé plus que jamais en valeur refuge. Beaucoup (...)
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