Le ventre de Toulouse ne crie pas famine. Le Grand Marché de Toulouse, nouveau nom du marché d’intérêt national de la Ville rose, « ne va pas si mal ». « Il se projette », complète sa directrice générale Maguelone Pontier, qui avoue une perte de 300.000 euros de chiffre d’affaires en 2020. Sans surprise, le premier confinement, qui a interdit aux marchés de plein vent de vendre leurs produits, est la (...)
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