Publié le dimanche 29 septembre 2024 à 18h00
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Pour être conforme avec l’accord de Paris, traité visant à réduire les émissions de CO2, Jürgen Knödlseder, directeur de recherche à Institut de recherche en astrophysique et planétologie à Toulouse, a étudié la recherche astronomique depuis 1945. Résultat : il préconise de réduire le nombre d’instruments au sol et dans l’espace, tout en procédant à leur décarbonation.
En août 2024, l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie (Irap), laboratoire sous tutelle du Cnes, du CNRS et de l’université Paul Sabatier, publie une étude dans Nature Astronomy sur l’impact des pratiques de la recherche spatiale sur l’environnement. Comment est née l’idée d’étudier votre propre secteur d’activité et ses conséquences sur le climat ?
Jürgen Knödlseder : Car (…)
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