« Dark kitchen », « cloud kitchen » ou encore « ghost kitchen ». Quel que soit l’anglicisme utilisé, ces différentes appellations recouvrent un seul et même concept : des cuisines fantômes vouées à la confection de petits plats. Impossible de s’y sustenter sur place, ces restaurants ne proposent que des repas livrés et à emporter. Né en 2018, ce concept s’est vu pousser des ailes avec le Covid-19.
À (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :