Pas un chat, ou presque. Un jeudi de mars, à la mi-journée, le silence est étourdissant. Les parkings voitures sont quasi déserts, les allées de l’aéroport Toulouse-Blagnac presque vides. Le sixième aéroport de France vit ses jours les plus sombres. Le trafic s’est s’effondré en 2020 de 67% avec 3,1 millions de passagers.
Pourtant en croissance soutenue jusque-là, l’aéroport de Toulouse-Blagnac (ATB) (...)
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