« Ici, tout se meurt, il n’y a plus rien », constate, amer, Robert Pretet, gérant de la brocante-garage, le regard dirigé vers la rue Jules Cabrol, l’une des artères principales de la petite ville d’Aubin. « Avant, il y avait quatre pompes à essence. Là, une imprimerie. Mais on est écrasés par les charges. On vivote. Avec Macron et ses réformes, on y perd toujours quelque chose, et, avec lui, ce sera le (...)
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