Le rendez-vous est pris à l’écluse du Béarnais, aux Ponts-Jumeaux à Toulouse. Cécile Cambon nous attend comme convenu. Face à elle, cinq écrans d’ordinateur. « J’ouvre la porte de l’écluse Bayard à un bateau, je la referme, et je suis à vous », lance-t-elle concentrée, l’œil rivé sur l’image, le doigt sur la souris. L’opération a duré cinq minutes, le clic une seconde. Depuis que les écluses (…)
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