« On le savait », lance, résignée, Ghislaine Gisteau de la CGT. Pourtant, cette salariée de la Sam a fait le déplacement ce vendredi 2 juillet depuis Viviez, dans l’Aveyron, jusqu’à Toulouse et son tribunal de commerce. Une audience prévue à cette date devait étudier les deux offres de reprise de la fonderie, placée en redressement judiciaire. Mais, il n’en fut rien.
« Les administrateurs ont demandé un (...)
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