« La célébration des mauvaises nouvelles continue et s’accélère, même, depuis l’été dernier. Il n’y a quasiment plus de mises en ventes de logements neufs dans l’aire urbaine et à Toulouse. La "machine est cassée", il faut d’ailleurs remonter à 2009 et la crise des subprimes pour retrouver une telle pénurie. » C’est avec ces mots que Jean-Philippe Jarno, président de l’Observer de l’immobilier Toulousain, a (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :