« Ah non je ne veux plus entendre parler de Renault. Ça suffit ! », s’agace Mauricette, surnommée Mimi, entrée à la Sam, société aveyronnaise de métallurgie, il y a 34 ans. Cette ancienne agent qualité, qui travaillait la nuit, tourne le dos à la télévision dans le hangar de réparation des machines qui fait office de réfectoire et ne voit pas les images défiler, ce jeudi 24 mars, à l’heure du déjeuner. « (...)
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