Les anciens de la Société aveyronnaise de métallurgie (Sam), implantée à Viviez, dans l’ancien bassin minier sinistré de Decazeville, disposent de quelques jours, jusqu’au mardi 5 avril, 14 heures, pour quitter l’usine qu’ils occupent. Telle est la décision du tribunal correctionnel de Rodez, rendue mardi 29 mars.
« Nous regrettons et condamnons cette décision », a déploré Ghislaine Gistau, secrétaire (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :